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  • rhinopharyngie

Problèmes de toux

Abordons notamment le problème de la toux (le fait de tousser)
Le site n’a pas la prétention de détailler toutes les toux car elles doivent être, lorsqu’elles sont sèches ou grasses et accompagnées de température, l’objet également de consultations (bien souvent en relation avec une irritation de gorge dans un contexte rhino-pharyngé (rhume)).
Explication
 
Mais abordons la toux rauque (son grave), sèche, nocturne où le comportement du nourrisson devient inquiétant donnant l’impression d’étouffer.

Mon conseil :

En dehors du fait d’appeler le médecin de garde ou le « 15 » (si l’enfant présente des signes de cyanose avec le bout des doigts et les lèvres bleus), un moyen simple de pallier à cet état en attendant est de faire couler de l’eau très chaude dans une salle de bain et de faire respirer la vapeur dégagée à l’enfant ou au nourrisson, cela lui permet de mieux respirer (phénomène de décollement des cordes vocales).
Explication
 
Un autre problème fréquent, est celui de l’ingestion (le fait d’avaler) d’un corps étranger provoquant une toux (à ce propos, j’interdirai à tout parent d’autoriser la prise de cacahuètes par le nourrisson ou l’enfant car c’est un corps étranger qui ne dissout ou ne fond pas).

Mon conseil :

Contrairement à la réaction naturelle la plus fréquente, il ne faut pas mettre la tête du nourrisson ou de l’enfant vers le bas, mais l’asseoir sur ses genoux, son dos contre votre ventre et appuyer sur son creux épigastrique (au milieu de sa poitrine au niveau de l’estomac) avec vos deux mains assez fortement pour pouvoir essayer de le faire vomir.
Dans l’insuccès (échec), appeler le 15 ou emmener le nourrisson ou l’enfant aux urgences médicales hospitalières
Explication
 
Les corps étrangers introduits dans les narines ou oreilles nécessitent le recours à l’hôpital ou un spécialiste ORL fera le nécessaire.
Explication
 
Pour pallier, dans toutes les situations au symptôme température, dans le cas où le nourrisson ne convulse pas (mouvements saccadés de tout le corps) aux montées de température (ou aux descentes), avoir recours à un antithermique (pour faire baisser la température).
Ce qui exclut les nourrissons allergiques au paracétamol et à l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Explication
 
J’évoque les convulsions hyper-thermiques (montée de température) qui se produisent aux augmentations et diminutions de température), en général les parents sont éduqués pour donner des quantités d' un médicament qui sont relatives au poids du nourrisson ou de l’enfant.



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