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l’adolescent et sa psychologie

« Chaque âge à son charme » et il faut être particulièrement attentif à celui ou celle qui sort de l’enfance pour aborder la période de l’adolescence avant d’aborder inéluctablement celui de l’âge adulte.

L’adolescent qui a déjà en lui le passé de son enfance aborde la période des études secondaires, universitaires ou celle d’une formation professionnelle qui le mènera en principe à l’indépendance par le biais de sa future profession. Et pour mener à bien ce projet d’une manière efficace, il devra s’en donner les moyens.

L’adolescent a également la vision du couple, de ses parents, qui peut être un exemple, comme il peut avoir été une source de problèmes et ce dans n’importe quel milieu (alcoolisme, brutalité, séparation…). Dans le cas le plus défavorable, cela entraîne des séquelles psychologiques qui peuvent quant l’adolescent est assez perspicace et intelligent se résoudre grâce à des spécialistes (psychologues, psychanalystes).

Il est à noter que nous devons être attentifs à nos comportements vis-à-vis d’eux dès l’enfance. Il est sûr que nous avons reçu un « schéma », un mode de vie, dans une société et que celle-ci comporte des règles de vie.

adolescent

Je pense qu’en dehors des schémas éducatifs traditionnels (scolarité : maternelle, primaire, collège, lycée, université, éducatif : politesse, tenue, performance), je conseillerai d’être attentif aux qualités spécifiques qu’un enfant peut posséder, savoir le cas échéant sortir des « sentiers battus ».

Si un enfant ne s’adapte pas aux schémas scolaires et qu’il manifeste logiquement des désirs ou qu’il présente des aptitudes manuelles, je pense qu’il ne faut pas insister sur ce que l’on désire pour lui mais mettre à sa disposition ce qui peut exister afin qu’il puisse mieux se réaliser en fonction de ce qu’il est ou représente. Il existe des conseillers d’orientation qui possèdent les coordonnées que vous recherchez.

Je pense qu’il est inutile en tant que parents de s’acharner (je schématise) à pousser un enfant dans les études alors qu’il semble fait pour se réaliser dans d’autres domaines. Ce phénomène quand l’enfant est encadré est fréquent « donner à notre enfant ce que l’on n’a pas eu ou obtenu » ou leur faire embrasser une succession de ce que l’on est ou de ce que l’on voulait devenir, je qualifierai cela de phénomène reflexe de notre part.

L’enfant contrairement à l’adolescent est toujours dépendant à un certain degré et nous pouvons écraser sa personnalité en lui faisant faire et exécuter ce que nous voulons. Je serai amené à vous conseiller de le connaître, de le découvrir, de l’écouter, ce que le manque de temps parfois nous amène à négliger.

Quand le comportement d’un adolescent est remarqué comme anormal ou ressenti comme anormal, je pense qu’il est nécessaire de l’exprimer. Beaucoup d’adolescents prennent l’initiative de se diriger vers des psychologues. Par contre beaucoup ne l’expriment pas et l’enfouissent quand ils n’ont pas la chance d’avoir de points de repères (père, mère, médecin traitant). Le rôle du médecin traitant est d’être, lorsqu’il a été fidélisé,un troisième confident, afin que l’adolescent puisse se confier et livrer son « jardin secret ».

L’adolescent équilibré ne « rencontrera » en principe que les problèmes que nous citerons ensuite et c’est une panoplie suffisante dans les cas les plus défavorables.

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